La tendance est nette. En 2010, ce sont les acquéreurs qui tiennent le marché de l’immobilier. N’en déplaise à tous ceux que les notaires soupçonnent de faire de la rétention : « Il paraît évident que seuls ont vendu l’an dernier ceux qui y étaient acculés, pour des raisons professionnelles, comme la mutation, ou familiales, comme le divorce ou la succession. Les autres sont dans l’attente (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :