A 25 ans, c’est déjà son deuxième album. Dimitri Nirman, clarinettiste formé pendant dix ans au conservatoire national de Toulouse, verse par affinité dans la variété jazz : « J’ai commencé ma carrière dans des orchestres de musique classique avant de pouvoir m’adonner à ce que j’aime. » raconte-t-il. Et de suggérer aussi que le classique demeure pour lui un formidable moyen de rebondir. Au (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :
