Comme sa tenue sobre, noire, juste éclairée par un foulard et des « baskets », blancs, le peintre, Gilles Rieu, n’affiche pas la couleur. Dans son atelier toulousain, il dégaine la tasse à café aussi prestement, qu’ il livre, avec faconde, ses devoirs de mémoire dans ses toiles. « Ce qui m’inspire c’est la vie, les gens, les lieux populaires et authentiques », dit-il.
C’est au Vietnam, à Hong Kong, à (...)
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