Louise Curran, quel est l’état d’esprit de vos interlocuteurs ?
Ils sont inquiets ! Les chaînes de valeur sont très intégrées sur ces thématiques qui constituent l’essentiel du commerce européen. Les grandes compagnies sont mobilisées et ont déjà mis des stratégies en place, mais les PME ne savent pas nécessairement quoi faire, ni comment.
Que doivent craindre les entreprises ?
Elles (…)
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