Lionel Charrier, vous avez été nommé rédacteur en chef photo de Libération en début d’année. Quand on arrive à ce poste, l’héritage n’est pas trop dur à porter ?
Je suis arrivé le 5 janvier à la rédaction, et deux jours après, il y a eu les événements dramatiques de Charlie que l’on connaît... Ce qui a finalement laissé peu de place aux interrogations. C’était direct. Après, il est vrai que (…)
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