Écrasée par un rouleau-compresseur, elle résiste sans un cri. Son bras commence à se tordre. Son corps d’acier, à plier. Lentement, elle se déforme. Au volant, le conducteur de l’engin, guidé par Philippe Motta, en remet un dernier coup. La séance de torture se termine mais elle n’en sortira pas indemne. Elle rejoindra bientôt les autres, broyées par des 38 tonnes ou des pelles mécaniques puis (…)
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