Un air de déjà-vu. À plusieurs détails près. En contrebas de l’accueil, dans un vaste hangar qui s’ouvre sur les pistes de l’aéroport Toulouse-Blagnac, des techniciens et des stagiaires s’agitent autour d’un ATR 72-500 peint en rose, jaune et blanc. À y regarder de plus près, il manque à cet avion démantelé un bout d’aile, le train d’atterrissage et l’empennage. Propriété d’Universal (…)
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