Évidemment, nous aurions pu nous retrouver dans un de ses dix-neuf fast-foods de la région toulousaine, où il essaie, « dès qu’il le peut », d’organiser ses rendez-vous professionnels. Mais finalement, le déjeuner est fixé au Père Louis, plus ancien établissement de Toulouse, où les rognons de veau côtoient sans complexe les liqueurs de contrebande qui ont fait la réputation des lieux. Michel (…)
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