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En images. Dans l’antre de la chaîne d’assemblage d’ATR à Toulouse

Publié le lundi 17 juin 2019 à 11h55min par Rémy Gabalda

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Alors que le Salon international de l’aéronautique et de l’espace, dont la 53e édition ouvre ses portes ce lundi 17 juin au Bourget, ToulÉco a visité la chaîne d’assemblage du constructeur ATR. Un reportage photos de Rémy Gabalda.

Rémy Gabalda

Rémy Gabalda

La chaîne d'assemblage d'ATR occupe le bâtiment M62 qui a abrité l'assemblage du SE-2010 Armagnac, un avion de ligne quadrimoteur fabriqué par SNCASE à la fin des années 40, le Dewoite, la Caravelle (ici sur la photo), un avion de ligne biréacteur destiné aux itinéraires courts et moyen-courriers produit entre 1958 et 1973 par la société française Sud-Aviation qui devient Aérospatiale en 1970. Ce bâtiment a aussi accueilli l'avion militaire Transall.

Avec une cadence de production de 80 avions par an, ATR compte comme premier client la zone Asie-Pacifique suivie de l'Europe.

La chaîne d'assemblage d'ATR occupe le bâtiment M62 qui a abrité l'assemblage du SE-2010 Armagnac (ici sur la photo) un avion de ligne quadrimoteur fabriqué par SNCASE à la fin des années 40, le Dewoitine, la Caravelle, avion de ligne biréacteur destiné aux itinéraires courts et moyen-courriers produit entre 1958 et 1973 par la société française Sud-Aviation qui devient Aérospatiale en 1970. Ce bâtiment a aussi accueilli l'avion militaire Transall.

La chaîne d'assemblage d'ATR occupe le bâtiment M62 qui a abrité l'assemblage du SE-2010 Armagnac, un avion de ligne quadrimoteur fabriqué par SNCASE à la fin des années 40, le Dewoitine, la Caravelle, avion de ligne biréacteur destiné aux itinéraires courts et moyen-courriers produit entre 1958 et 1973 par la société française Sud-Aviation qui devient Aérospatiale en 1970. Ce bâtiment a aussi accueilli l'avion militaire Transall (ici sur la photo)

ATR emploie 1000 personnes à Toulouse sur trois sites : la chaîne d'assemblage à Saint-Martin-du-Touch ; le siège du groupe à Blagnac et la maintenance à Francazal.

Les ATR ont été choisis par quelque 200 compagnies qui les opèrent depuis plus de 100 pays dans le monde. Le constructeur compte parmi ses clients Swift Air, Stobart, Binter, Bra et DAT/

La cabine de pilotage d'un aparreil 72 apparemment très appréciée des pilotes.

Stefano Bortoli (58 ans) a été nommé pour un mandat de quatre ans par Airbus et Leonardo, les actionnaires d'ATR, au poste de Président exécutif d'ATR, en remplacement de Christian Scherer nommé à la tête des ventes du groupe Airbus.

Un technicien travaille sur le nez d'un ATR 72 que l'on peut facilement reconnaitre grâce son numéro visible car inscrit sur le cockpit. Petite explication utile : les numéros qui commencent par T3 correspondent à la famille des ATR 72. Ceux qui débutent par par T5 sont des ATR 42.

ATR est le constructeur numéro un mondial d'avions régionaux. En 2018, l'entreprise a réalisé 1,8 milliard de dollars de chiffre d'affaires et ses deux modèles, les ATR 42 et 72, sont les avions de moins de 90 places les plus vendus dans le monde.

Un technicien travaille sur un ATR 72 sur la chaîne d'assemblage à Toulouse. Le constructeur a vendu à ce jour 1700 avions.

Les fauteuils du fabriquant Gaven d'un ATR 42 sont encore emballés.

La chaîne d'assemblage d'ATR occupe le bâtiment classé M62 qui a abrité l'assemblage du SE-2010 Armagnac, un avion de ligne quadrimoteur fabriqué par SNCASE à la fin des années 40, le Dewoitine (ici sur la photo), la Caravelle, avion de ligne biréacteur destiné aux itinéraires courts et moyen-courriers produit entre 1958 et 1973 par la société française Sud-Aviation qui devient Aérospatiale en 1970. Ce bâtiment a aussi accueilli l'avion militaire Transall.

Les parties de l'empennage des ATR 72 sont fabriquées à Naples en Italie, au sein de l'entreprise Léonardo ( qui dispose de 50 % du capital, avec Airbus) puis elles sont acheminées par route et bateau sur la chaîne d'assemblage d'ATR de Toulouse.

Le bâti-moteur est fabriqué à l'usine Airbus Saint-Eloi (Toulouse). En tout, dix semaines sont nécessaires à la fabrication d'un avion, dont cinq semaines consacrées à l'assemblage des pièces.

Des techniciens d'ATR échangent avec des élèves de l'école d'Airbus sur la chaîne d'assemblage ATR à Toulouse.

Un technicien d'ATR travaille sur un ATR 72 , sur la chaîne d'assemblage à Toulouse.

Un technicien d'ATR travaille sur les kilomètres de câblage électrique qui équipe cet ATR 72 , sur la ligne d'assemblage de Toulouse, le 12 juin 2019.

L'entreprise ATR (Avions de Transport Régional) est un groupement d'intérêt économique (GIE) franco-italien fondé en 1982 spécialisé dans la construction aéronautique d'avions turbopropulseurs pouvant transporter de 48 personnes pour les ATR 42 à 78 personnes pour les ATR 72. Détails d'un ATR 72 sur la chaîne d'assemblage, à Toulouse. Dix semaines sont nécessaires à la fabrication d'un avion.

Les hélices en fibre de carbone sont fabriquées par Ratier Figeac ( groupe United Technologies), le leader mondial dans le domaine des hélices de forte puissance.Cet équipementier de premier rang fournit les grands donneurs d'ordres et avionneurs comme ATR.

Un technicien travaille sur le nez d'un ATR 72 que l'on peut facilement reconnaître grâce son numéro inscrit sur le cockpit. Petite explication utile : les numéros qui commencent par T3 correspondent à la famille des ATR 72. Ceux qui débutent par par T5 sont des ATR 42.

Source : https://www.touleco.fr/En-images-Dans-l-antre-de-la-chaine-d-assemblage-d-ATR-a,26919