Au regard des opérations immobilières réalisées ces dernières années à Toulouse, on a le sentiment que l’aspect architectural est secondaire. Qu’en pensez-vous ?
Les promoteurs doivent faire face à différentes contraintes. Réglementaires tout d’abord. Or sur ce point elles n’ont certainement pas été suffisamment fortes par le passé. D’où cette multiplication d’immeubles « cassoulet » avec (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :