Bien loin du monde du chocolat, Florent Behaegel a d’abord travaillé quinze ans dans le monde de la finance. Son histoire avec le cacao commence un peu par hasard, au coin d’une rue à San Francisco. « J’étais en voyage d’affaires et je découvre un atelier de torréfaction du chocolat, c’est ce que l’on appelle un Bean to bar. » Partir de la fève pour la transformer en chocolat. Florent se (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :