On entre dans ce qu’on appelle la petite chapelle Sixtine par la rue du Périgord, après avoir passé une lourde porte colorée. De l’extérieur rien ne laisse deviner le spectacle qui nous attend : un plafond entièrement peint de motifs baroques en trompe-l’oeil et des murs recouverts d’immenses tableaux, oeuvres du peintre toulousain Jean-Pierre Rivals, qui s’est inspiré de la chapelle Sixtine. Son (...)
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