Droit dans ses bottes, Loïc Cordier ne décolère pas. Les annonces du Premier ministre Gabriel Attal pour tenter de calmer la contestation sont qualifiées de « mesurettes » par le céréalier de 25 ans. « Je suis déçu », concède le Toulousain, dont l’exploitation familiale de 250 hectares en polyculture se situe dans le Lauragais, près d’Auriac-sur-Vendinelle. Néanmoins, à l’appel du syndicat (…)
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