Joseph Carles, maître de conférences à l’IEP de Toulouse
Publié le mardi 12 octobre 2010 à 21h17
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dans la rubrique Grand entretien.
La commission Stiglitz a remis son rapport autour des « Mesures des performances économiques et du progrès social » à Nicolas Sarkozy en septembre 2009. Le prix Nobel d’économie y dénonce l’inadéquation du PIB actuel comme mesure de la richesse nationale. Selon son principe, la croissance ne profite pas à tous de la même manière, il faut donc aussi prendre en compte des indicateurs axés sur l’individu et le développement durable. Une « économie du bonheur » plutôt qu’une « économétrie ». Accueilli avec intérêt, ce rapport révolutionnaire semble aujourd’hui en panne. Le point avec Joseph Carles, maître de conférences à l’IEP de Toulouse, délégué du Grand Toulouse, président de la SEM Constellation, et animateur d’une soirée-débat à Toulouse sur ce thème le 20 octobre prochain.
Où en est-on du rapport Stiglitz remis à Nicolas Sarkozy l’an dernier ? Joseph Carles, maitre de conférences à l’IEP de Toulouse fait le point sur ce document sur « l’économie du bonheur » avant une prochaine conférence.
Un petit rappel des grandes lignes du rapport ?
Je suis les travaux de Stiglitz depuis longtemps. Son école du bien-être ou économie du bonheur est intéressante car elle (…)
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