Un appartement bourgeois face au Jardin des Plantes, parquet blond, plafonds haut perchés, effluves d’une bougie Astier de Villatte, meubles polis années 50 et sur les murs, suspendus, presqu’en apesanteur, des carrés de soie, des écharpes en cachemire, des foulards aériens... Dans le showroom de Pierre-Louis Mascia à Toulouse, « tout n’est que luxe, calme et volupté ».
Cet ancien directeur (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :