À elles seules, les 200 enseignes de la rue d’Alsace-Lorraine réalisent 50% de chiffre d’affaires (hors alimentaire) des 1.600 commerces du centre-ville toulousain. Un cœur urbain classé premier de France avec les 716 millions d’euros générés par ses commerces en 2011, et qui attire 35% de la consommation contre 25% en moyenne dans les autres centres-villes.
Une activité qui ne semble pas (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :