Soixante-quatre installations classées pour pollution, mais non Seveso, sont répertoriées en Haute-Garonne. Dressé par la DRIRE, l’état des lieux par secteur d’activité stigmatise la pollution première des eaux. Les rejets en azote, en phosphore des entreprises agroalimentaires ou de fabrication du papier, pas très toxiques en eux-mêmes, altèrent en effet la qualité des cours d’eau, s’ils sont (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :