« Nous ne sommes pas en mesure de donner la date d’ouverture du magasin ». Sur les devantures des commerces de Saint-Béat, c’est le même message qui revient. Scotché sur des planches de bois qui dissimulent à peine l’étendue des dégâts. Plus de boulanger, plus de bureau de poste, ni de banque. Derrière les façades, et les rues nettoyées, la Garonne coule, paisible. Mais son lit est dévasté, (…)
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