Alain Di Crescenzo, vous arrivez à la tête de la chambre de commerce et d’industrie d’Occitanie. Elle pèse treize CCI départementales réparties sur 72 sites pour 240.000 ressortissants. Quel est le pari ?
Il est double, à la fois interne et externe. En interne, il s’agit d’organiser qui fait quoi. Avec un challenge : nous devons pouvoir proposer un socle commun de prestations identiques en (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :