Devant le site de Thalès Toulouse mercredi à 10h, l’ambiance est aussi lourde que les nuages qui planent dans le ciel. Les voitures bloquent le portail, les habituelles chansons de mobilisations retentissent et les discussions vont bon train. Mais le cœur n’y est pas. En cause, la possible cession d’une filiale à la société GFI.
Pour Thalès il s’agit de « se recentrer sur son cœur de métier (…)
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