Depuis l’annonce en novembre dernier de la suppression de 1164 postes en Europe, dont 639 en France, sept mois se sont écoulés. Le temps pour la direction de troquer l’absence de licenciements secs contre l’acceptation par les organisations syndicales de départs volontaires, de mobilité sur les différents sites du groupe et de retraite anticipée.
« Les mesures sociales ont été négociées par (…)
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