SNC Lavalin et Vinci Airports se montrent discrets sur le sujet. Il faut dire que l’enjeu est de taille : obtenir l’exploitation de l’aéroport d’affaires de Toulouse-Francazal pour les quarante-cinq prochaines années. Les deux opérateurs ont été les seuls à se positionner sur cet appel d’offres gouvernemental, dont le dépôt des candidatures s’est clos le 12 novembre. Le lauréat aura en charge (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :