Pour faire face à la déferlante du café en dosette industrielle, les artisans toulousains s’organisent. Leur arme ? Un savoir-faire bien implanté en local. Mais la concurrence fait rage. « Les industriels nous vendent ça comme si c’était un diamant ! s’esclaffe Gérard André, responsable du café toulousain Saveurs des Tropiques. Nespresso ne vend pas du café, il vend Georges Clooney. » Même verdict sans (...)
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