Publié le lundi 1er août 2011 à 22h05min
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Son exposition au Centre culturel Bellegarde s’est terminée le 29 janvier dernier mais sa parenthèse avec les Anges elle, n’est toujours pas refermée. Le peintre toulousain n’en a pas encore fini avec ces figures à double visage, tantôt bienveillantes, tantôt menaçantes, flottant dans un monde « en mauvais état », où veiller, c’est déjà résister.
Installé depuis 1967 à Toulouse, Christian Poquet y a vu naître ses Anges et ses Veilleurs. Peut-être étaient-ils déjà dans l’esprit du peintre à Versailles, sa ville de naissance et peuplaient-ils les cours qu’il suivait aux Beaux-arts de Paris ou dans l’atelier d’Yves Brayer à la Grande Chaumière ? Difficile de savoir d’où viennent ces formes et ces silhouettes que l’on penserait volontiers (…)
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