C’est sur des sentiers non battus qu’a souhaité s’engager Gibraltar pour bâtir au fil de ses 180 à 200 pages un pont entre deux mondes, une ouverture vers un ailleurs lointain mais à la fois si proche. Franchir le détroit, aller voir ce qui se passe de l’autre côté en empruntant ce point de convergence entre le Nord et le Sud, raconter des histoires sur des hommes et des lieux…
Dans cette (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :