Sous le choc, horrifiée. C’est ainsi que se décrivait, ce lundi 19 mars, la communauté juive de Toulouse après la mort dans le collège-lycée juif Ozar Hatorah de trois enfants et d’un enseignant, abattus dans la matinée par un homme qui a ouvert le feu avec des balles de gros calibre avant de prendre la fuite sur un scooter. Cette véritable tuerie porterait donc bien la signature de tueur (…)
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