Arnaud Goldenberg, depuis votre arrivée il y a un an, l’hôtel Pullman Toulouse Centre a amorcé une importante évolution. Quelle est votre ambition ?
À l’international, les hôtels sont de véritables lieux de rencontres. On y entre pour un rendez-vous, pour déjeuner, pour boire un verre. En France, la tendance est plutôt de chercher le petit restaurant de quartier. Nous voulons faire évoluer ces habitudes. Inciter les Toulousains à découvrir nos espaces, à profiter de notre ambiance loin de l’a priori guindé que l’on peut avoir d’un hôtel cinq étoiles. Le tout, sans sacrifier à la qualité de service de nos 125 chambres.
La carte du restaurant Le SW et du bar Le 84 ont été revues sous la houlette du chef Yousri Ben Jeday. Produits locaux, fruits et légumes bio et spécialités du terroir sont travaillées dans un esprit bistronomique tout en maintenant des prix abordables. L’idée est de démocratiser notre bar et notre restaurant, de les ouvrir aux Toulousains.
Faire du bar Le 84 le nouveau Club House du TFC répond donc à cette logique ?
Tout à fait. Déjà, cet été, nous avions transformé cet espace en Pullman Arena, un véritable café des sports, à l’occasion de la Coupe du monde de football. De nombreuses initiatives ont rythmé chaque diffusion de match. Nous reproduisons ce modèle lors des rencontres des Violets à l’extérieur avec ce concept de Club House du TFC, qui prend la suite du #QGTFC. Une carte de grignotage spéciale, des animations et des lots à gagner participent à créer une ambiance conviviale. Nous allons décliner ces événements hors du contexte sportif.
Portrait chinois
> Si vous étiez un sportif…
Rafael Nadal, pour son abnégation. Rien ne lui était
acquis, sa réussite est le fruit de son travail.
Une enceinte sportive qui vous a marqué.
Le Millenium Stadium de Cardiff, où j’ai assisté à la
victoire de la France contre les All Blacks lors de la
Coupe du monde 2007. Ce lieu est incroyable, il fait
réellement vibrer.
Le sport qui vous représente.
Le football, le sport qui donne à rêver par excellence.
Même entre amis, on s’imagine toujours être
le héros du match.