Vous êtes l’un des sept cofondateurs du Cercle Mozart. Qu’est-ce qui le distingue des autres clubs ?
Ce n’est pas un cercle fermé de gens qui veulent faire des affaires. C’est un club de réflexion, apolitique, qui a d’emblée été transversal. Il faut casser les sectorisations par profession. Nous avons une majorité de décideurs, mais nous rassemblons au-delà de l’économie, dans le vin, la (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :