Adaptations aux nouvelles demandes des consommateurs, conversion en bio des 300 hectares de vignobles (sur six domaines), méthodes de travail de plus en plus affinées… Le passage en bio « rend nos plantes plus belles, mais aussi plus fragiles face aux aléas climatiques. C’est une ligne de crête, passionnante, mais pas reposante ! », confie Miren de Lorgeril, dirigeante du groupe viticole. Les (…)
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