Très attendue, l’audition hier de Jean-Louis Bruguière dans le cadre du procès en appel de la catastrophe AZF et de la semaine d’audiences consacrées à la « piste de l’acte intentionnel », a tenu ses promesses. Cité par Monique Mauzac, directeur de recherche au CNRS et veuve d’un ingénieur-chimiste d’AZF décédé dans l’explosion, l’ancien juge antiterrorisme a regretté que « le principe de (…)
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