Pour Jacques Mercier, la madeleine a une saveur proustienne. Un souvenir d’enfance, une odeur de pâtisserie sortie du four, transmise par sa grand-mère Mamy Thérèse, près de Nancy. « J’ai eu le déclic, en 2014, à son décès. J’ai quitté mon poste de cadre dans l’industrie agroalimentaire pour lancer ma madeleinerie "Mamy Therèse" à Paris, raconte-t-il. J’ai démarré avec quelques économies et ma (…)
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