L’ambiance n’est plus vraiment à la fête. Et les ambitions ont été revues à la baisse. Ce vendredi 13 novembre, à quelques heures des terribles attentats qui allaient frapper Paris, les organisateurs du Salon de l’auto de Toulouse affichaient encore leur enthousiasme. Il faut dire que l’événement, le seul en province à ne pas avoir connu d’interruption en raison de la crise du secteur – (…)
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