Les Anglais l’appellent l’entertainement. Mais en France, il est difficile à résumer, tant il rassemble des secteurs très différents, à la fois culturellement et économiquement. Si le divertissement, appelons-le comme tel, est une affaire sérieuse, il reste malgré tout dépendant du pouvoir d’achat de ses clients, et donc, de la conjoncture actuelle. Toulouse n’échappe pas à la règle : de (…)
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