Enfant, il n’était pas « très moderne
», plutôt sage, surtout
pas turbulent. Ses amis pointaient
souvent ses principes et
son côté « vieille France ». Après que
son père, architecte et peintre du dimanche,
lui a mis des pinceaux entre
les mains, Jean-Luc Beaufils s’est essayé
à la modernité. Le psychédélique était
dans l’ère du temps. Il pratiquait alors
l’abstraction spontanée, le (…)
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