Le bouleversement n’a pas eu lieu. Redessinée en vingt-sept cantons au lieu de cinquante-trois précédemment, la Haute-Garonne reste un bastion socialiste. Voire une exception. Car le PS sort renforcé de ces départementales au cœur du territoire toulousain, alors même qu’au niveau national, c’est la chute avec la perte de près de la moitié des départements français détenus par la gauche.
En (…)
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