« Cet hiver a été fortement marqué par la faiblesse des précipitations et des températures anormalement élevées. Ce qui a un impact direct sur la ressource en eau. Nous constatons pour les réserves que nous gérons, un niveau de remplissage à la fin mars, nettement inférieur au taux normal observé à pareille époque. Le bassin de la Neste est seulement rempli à 65 % et celui de l’Adour à 67 %. (...)
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