Dans la tourmente qui secoue actuellement le monde agricole, il est une voix que l’on entend peu : celle des « petits » maraîchers, qui exploitent des surfaces modestes, inférieures à 3 hectares, qu’on désigne par « microfermes ». Plus présentes en Occitanie qu’ailleurs en France selon une étude de l’Agreste [2] parue en novembre dernier, ces microfermes ont des traits communs : elles sont (…)
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