C’est l’histoire d’un opiniâtre. Lorsque Thibault Lavielle a entrepris en 2016 de reprendre Katanga, entreprise haut-garonnaise en difficulté spécialisée dans le marquage textile, il a essuyé plus d’une douzaine de refus avant de recevoir l’accord d’une banque. « Cela m’a permis de peaufiner mon dossier et de prouver que le projet était solide. Katanga était un de mes sous-traitants et j’avais (…)
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