Du béton il a pris le meilleur, puis il a pris la route en parolier de Zebda. Le gamin des Izards a aujourd’hui 58 ans, et n’a plus peur de « parler en vieux con » : il assume sa passion du XIXe siècle littéraire, des Zola, Maupassant et Hugo, et brandit l’écriture comme une arme, une vengeance contre la misère. Mais derrière l’assurance du presque goncourisé, chaque terme est encore pesé (…)
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