Faire une nouvelle place à la violette dans le cœur des Toulousains et relancer une véritable filière économique, voilà l’espoir d’Hélène Vié qui consacre sa vie à redonner des couleurs à la fleur emblématique de Toulouse.
Retour en arrière... Après avoir conquis la France et l’Europe, la belle, trop gourmande en main d’œuvre et victime du rude hiver 56, va quasiment disparaître. (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :