Le projet contesté de réouverture de l’ancienne mine de tungstène de Salau, en Ariège n’est décidément pas un filon facile à creuser. La première des cinq visites de sécurité à laquelle a procédé le 22 février dernier la société Variscan Mines, toujours détentrice du permis d’exploration, a confirmé la présence d’au moins un ancien transformateur électrique « plein d’un liquide isolant (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :