Assis à une table de son grand bureau, la tête dans les mains,
comme pour rassembler ses idées, Olivier Michelon déroule
l’axe passé-présent-futur. Il remonte aux années 1970, à la fin
des « grands mythes » énoncés par Jean-François Lyotard, ces
modèles de compréhension et d’interprétation de l’Histoire qui
faisaient de la croissance, du progrès et de la technologie une voie
unique et (…)
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