Après le long bras de fer à l’automne qui a conduit la direction de Continental Automotive France à retirer son plan visant à obtenir des sacrifices salariaux dans ses trois sites de Midi-Pyrénées en l’échange d’un maintien de l’emploi jusqu’en 2015, les syndicats majoritaires et la filiale française de l’équipementier allemand Continental, sont aujourd’hui en conflit sur les négociations (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :