Le décollage est imminent. Ou presque. Au mieux, en juin. Des petits avions de dix-neuf places maximum en provenance d’Europe, et hors de l’Union européenne, transportant des responsables d’entreprise vont pouvoir décoller et atterrir sur les pistes de l’aéroport de Toulouse Francazal. Cette zone de 170 hectares est exploitée par la société d’exploitation de Toulouse Francazal (Sefta), détenue (…)
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