Un fiasco politique doublé d’un imbroglio juridique. La privatisation de la société d’exploitation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac restera l’exemple à ne pas suivre. Pointée du doigt par la Cour des comptes pour ses « graves insuffisances », dénoncée par des opposants aussi pugnaces que déterminés, elle occupe tous les échelons de la justice depuis plusieurs mois. Ce mercredi 29 avril, c’est (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :