Lorsqu’il s’est lancé dans la comédie, il y a deux ans, avec son premier spectacle « Tonitruant(d) », dans lequel il abordait sa vie de petit fils d’immigrés siciliens, il a rempli la salle dès la première date. Pour Bruno Rost, qui a grandi dans le quartier Saint-Agne à Toulouse, monter sur les planches relevait du défi. « Je ne voulais pas le regretter sur mon lit de mort. Mes salariés (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :