Fin janvier 2024, une escroquerie dopée au deepfake coûtera la jolie somme de 26 millions de dollars à une entreprise de Hong Kong. D’abord via un simple mail, le soi-disant directeur financier du groupe demande à un salarié d’effectuer plusieurs « transactions secrètes ». L’approche paraît grossière. Pourtant, l’employé se laisse convaincre, rassuré par une visioconférence avec ses collègues (…)
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