Selon la légende, un soldat toulousain aurait rapporté d’Italie la violette de Parme vers 1850, pour l’offrir à sa fiancée. Elle est dès lors cultivée localement, se vend sur les marchés et dans toute l’Europe. Elle devient même l’emblème de la Ville rose. À la veille du glacial hiver de 1956, qui décimera tous les plants, on compte 600 producteurs de violette. Côté produits dérivés, les violettes confites (...)
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