Daniel Rougé, certains dénoncent un site « stérile » qui manque de lieux de vie, de services, de parcs ou de commerces pour les 4000 personnes travaillant sur place et les accompagnants ou malades. Pourquoi une telle inertie dans l’aménagement ?
La question première du campus est son développement scientifique et économique plus que commercial. L’installation de commerces ou de services suivra le (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :