Petite année pour ATR, dont le siège est à Blagnac près de Toulouse. Le constructeur européen de turbopropulseurs, détenu à parité par Airbus et l’italien Leonardo, a annoncé, jeudi 31 janvier, que ses livraisons d’avions avaient reculé : 52 commandes fermes d’appareils en 2018 ( dont vingt concernent des ATR 42-600) contre 113 unités en 2017. La baisse de plus de moitié de ses livraisons s’explique par (...)
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